Bruno Mars fait de Mawazine sa "funky town"
Sur la scène de l'OLM Souissi, la star aux nombreux Grammy Awards, suivie par 150 millions de fans sur les réseaux sociaux et auteur du cinquième clip le plus regardé de l’histoire (avec plus de trois milliards de vues sur YouTube), a livré un méga show confirmant son immense popularité auprès d’un public de toutes les générations. Un incroyable moment musical!", souligne l'Association dans un communiqué.
Sur la scène Nahda, c’est une autre grande star de la musique arabe cette fois, qui a fait forte impression. Avec plus de 13 albums à son actif, le chanteur et compositeur tunisien Saber Rebaï a offert au public de Mawazine son expérience unique des concerts et la magie d’une voix unique en son genre, poursuit le communiqué.
A Salé, le public avait rendez-vous avec une femme libre et moderne : Najat Aâtabou, surnommée "la lionne de l’Atlas" et qui a fait de la chanson un moyen de lutter contre les inégalités dont les femmes sont victimes, ajoute-on, notant que la scène marocaine a également été animée par les prestations remarquées d’Abidat Rma, une formation folklorique populaire, et Abdelali Sahraoui, une voix du désert symbole de Guelmim.
Au Bouregreg, c’est le Malien Sidiki Diabaté, incarnation de la génération montante des jeunes artistes africains qui rayonnent, qui a tenu la foule en haleine ! Ses récentes collaborations avec Booba ou M ont permis à ce jeune multi-instrumentiste de développer une audience de plus en plus large et de confirmer son statut de star de l’afro-pop francophone.
Pour son grand retour à Mawazine, la belle Souad Massi a signé un concert exceptionnel au Théâtre National Mohammed V. Guitare en bandoulière, la chanteuse algérienne a mêlé des styles aussi variés que le folk-rock, le chaâbi, la musique arabo-andalouse à des textes très personnels, souvent empreints de poésie et de nostalgie.
Au Chellah, c’est la voix de l'Espagnole Maria Berasarte, portée par le lumineux Lisboa String Trio, qui a célébré le flamenco, les mélodies basques, les chants populaires castillans et, bien sûr, le fado de Lisbonne !
Pour ce sixième jour, Mawazine a également continué d’investir les rues de Rabat avec les spectacles de superbes troupes marocaines : Colokolo, une compagnie dédiée aux arts du cirque avec une douzaine d’acrobates, jongleurs, cracheurs de feu, équilibristes et musiciens, mais aussi la formation Gnawa Art Lux, qui a participé à de nombreux festivals au Maroc et à l’étranger pour présenter des shows de musique gnaoua avec de la danse, du saxophone et des percussions, relève a même source.
La 17ème édition du festival Mawazine Rythmes du monde se poursuit à Rabat et Salé jusqu'au 30 courant, avec une programmation alléchante qui mêle les plus grandes stars du répertoire marocain, arabe, africain et mondial.
Créée en 2001, Maroc Cultures est une association à but non lucratif qui s'est fixée pour mission principale de garantir aux publics de la région de Rabat-Salé-Zemmour-Zaër une animation culturelle et artistique d’un niveau professionnel digne de la capitale du Maroc.
En écho aux valeurs fondamentales de la politique de développement de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, Maroc Cultures concrétise cette noble mission via le Festival Mawazine Rythmes du Monde ainsi que différentes manifestations, colloques pluridisciplinaires, expositions d’art plastique et concerts.
Source : MAP
Lire aussi
Dernier actualités
- Hier 20:00 L’Union européenne sanctionne Meta pour pratiques anticoncurrentielles : une amende record de 798 millions d’euros
- Hier 19:30 Plus de 100 000 timbres frauduleux interceptés : la douane en alerte
- Hier 19:00 Aya Gold & Silver : Une transition stratégique malgré un recul trimestriel
- Hier 18:00 L'accès à l'énergie en Afrique : Un défi crucial à l'horizon 2025
- Hier 17:13 Hakim Ziyech sur « Call of Duty » pendant Gabon-Maroc
- Hier 17:04 Abdelouafi Laftit alerte sur la fraude au Registre social unifié
- Hier 16:59 L'ONEE lance le projet stratégique de ligne électrique à très haute tension de 3 GW