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Abdelilah Benkirane s'oppose au modèle occidental d'égalité des sexes
Abdelilah Benkirane, secrétaire général du Parti de la Justice et du Développement (PJD), a pris position contre le modèle occidental d’égalité entre les sexes, affirmant que cette vision ne servirait pas les intérêts des femmes marocaines et pourrait porter atteinte à leurs droits. Cette déclaration reflète une volonté de préserver les spécificités sociales et culturelles du Maroc, en s’appuyant sur des valeurs religieuses et familiales profondément ancrées.
Dans son discours, Benkirane a exprimé son opposition à toute tentative d’importer des modèles étrangers d’égalité des sexes, arguant qu’ils risqueraient de compromettre la cohésion de la famille marocaine. Selon lui, l’adoption de ces modèles entraînerait une érosion des valeurs de solidarité familiale et des principes qui caractérisent la société marocaine musulmane.
Le Parti de la Justice et du Développement a également manifesté ses préoccupations quant à certaines réformes envisagées dans le Code de la famille, notamment la limitation de la polygamie, le partage des biens entre les conjoints en cas de divorce et les règles concernant la garde des enfants. Pour le PJD, ces réformes doivent être envisagées avec prudence afin de ne pas bouleverser les équilibres sociaux.
Cette position souligne un débat récurrent au Maroc entre modernisation juridique et préservation des valeurs culturelles et religieuses. Benkirane appelle à un modèle d’égalité qui respecte les spécificités marocaines et protège les fondements de la famille tout en évitant une transposition brute de systèmes étrangers qui, selon lui, ne correspondent pas aux réalités sociales et religieuses du pays.
Ce sujet, hautement sensible, continue d’alimenter les discussions politiques et sociales, reflétant les tensions entre réforme et tradition dans un Maroc en quête de modernité sans renier son identité.