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Aux États-Unis, une avancée médicale majeure s'accompagne d'une tragédie
le premier patient ayant reçu une greffe de rein de porc génétiquement modifié est décédé dimanche dernier. Les médecins soulignent la difficulté de déterminer si le décès est directement lié à la transplantation réalisée en mars dernier, qui avait duré plus de quatre heures.
Richard Slayman, 62 ans, avait été le premier patient vivant à bénéficier de cette greffe, alors qu'il souffrait d'une maladie rénale en phase terminale ainsi que de diabète et d’hypertension.
L'opération, menée par une équipe de l’hôpital de Boston, avait suscité un grand espoir chez des millions de patients en attente d’organes. Le rein utilisé avait été spécialement génétiquement modifié pour réduire les risques de rejet en éliminant les gènes porcins et en ajoutant des gènes humains, une technique appelée xénogreffe.
Cependant, malgré cette avancée prometteuse, il est évident qu'il reste encore de nombreux défis à relever avant de généraliser cette pratique. Des étapes techniques, scientifiques et éthiques devront être franchies pour que les greffes d'organes d'origine animale deviennent une alternative viable aux greffes classiques.