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L'Iran plombé par la chute du rial
Le président iranien tente de calmer la gronde populaire, alors que l'économie du pays est déstabilisée par le retrait américain de l'accord sur le nucléaire, qui a entraîné une dépréciation de la monnaie, le rial, et une hausse des prix.
Le rial a perdu 50% de sa valeur en six mois
Hassan Rohani en appelle à l'unité nationale pour faire face à ce qu'il qualifie de "nouvelle stratégie américaine" pour vaincre la République islamique.
Une déclaration faite après les manifestations qui ont éclaté dimanche dans la capitale. Fait rarissime, les commerçants du Grand Bazar de Téhéran ont fermé leurs boutiques pour protester contre le taux de change élevé qui plombe leur activité.
Depuis le début de l'année, la monnaie iranienne a perdu près de 50 % de sa valeur, le billet vert s'échangeant désormais autour de 90.000 rials sur le marché noir.
Téhéran interdit l’importation de 1.300 produits
Cette dépréciation s'est accélérée depuis l'annonce du retour des sanctions américaines. Or, ces sanctions, qui prendront effet dès le mois d’août, risquent de freiner les exportations iraniennes et de réduire le flux de devises étrangères, ce qui inquiète les investisseurs.
Par souci de "sécurité économique", le régime de Téhéran a récemment interdit l'importation de plus de 1300 produits : chaussures, biens de maroquinerie, meubles, appareils ménagers, textiles, produits sanitaires... Pour l'Iran, c'est le retour d'une économie de résistance.
Agences : AFP