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La Bourse de Milan respire, les autres attendent
La crise politique italienne continue de dicter le moral des marchés, or la Bourse de Milan reprenait de l'oxygène mercredi, après avoir perdu plus de 12 % en dix séances. A la clôture, le FTSE Mib gagnait 2,09 %.
Ce rebond était en partie à attribuer à un début de détente sur les rendements souverains italiens. Le rendement à 10 ans est revenu sous la barre des 3 % après un pic à 3,39 % la veille et le 2 ans retournait sous les 2 %, contre plus de 2,73 % au plus haut la veille.
Dans le même temps, les autres places financières européennes restaient prudentes, les yeux rivés sur les négociations politiques dans la troisième économie de la zone euro : la Bourse de Paris affichait un léger recul (-0,2 %) en clôture mais les principaux indices de Francfort et Londres étaient en progression de près de 1 % et la monnaie unique européenne rebondissait nettement sur le marché des devises.
"Les marchés se sont un peu calmés, car chacun sait que l'Italie est trop grande pour qu'on la laisse échouer, ça ne peut pas arriver. Si l'Italie tentait de quitter la zone euro, alors l'Union européenne et la Banque centrale européenne résisterait. On peut appeler ça du chantage : l'Italie peut émettre des demandes, l'UE et la BCE vont y répondre, car elles n'ont pas le choix", résume Robert Halver, directeur des études de marché de la Baader Bank.
A Tokyo, le Nikkei avait fini la journée de mardi sur un repli de 1,52 % dans le sillon de la Bourse de New York, dont les valeurs bancaires ont été chahutées par la crise italienne. Mais le Nasdaq, tout comme le Dow Jones, évoluaient en territoire positif mercredi.
Source : Euronews