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Poutine et Al-Soudani alertent sur les risques énergétiques du conflit Iran-Israël
Alors que le conflit entre l’Iran et Israël continue de faire trembler la région, le président russe Vladimir Poutine et le Premier ministre irakien Mohamed Chia al-Soudani ont exprimé lundi leur « préoccupation » face aux risques croissants pesant sur les marchés mondiaux de l’énergie.
Les deux dirigeants, dont les pays figurent parmi les principaux producteurs mondiaux de pétrole, se sont entretenus par téléphone pour évoquer les conséquences géopolitiques de la confrontation militaire en cours. Selon un communiqué du Kremlin, ils ont notamment souligné « l’importance de poursuivre la coopération active » au sein de l’Opep+, alliance stratégique entre les membres de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole et leurs partenaires, dont la Russie.
Le Kremlin a précisé que Moscou et Bagdad partagent une même inquiétude quant à la stabilité du marché pétrolier mondial, fortement exposé aux tensions au Moyen-Orient. Toute escalade dans la région pourrait perturber les routes d’exportation, faire grimper les prix du brut et déstabiliser les économies dépendantes de l’énergie.
L’Opep+, qui joue un rôle central dans la régulation de la production pétrolière, fait face à un nouveau défi : contenir les répercussions d’un conflit régional majeur sur l’offre et la demande mondiales. La coordination entre ses membres apparaît plus que jamais cruciale, alors que les prix du baril restent volatils et que les marchés financiers scrutent la moindre déclaration venant de Téhéran ou de Tel-Aviv.
Cette prise de position conjointe illustre également le rapprochement croissant entre Moscou et Bagdad dans le domaine énergétique, dans un contexte de recomposition des alliances diplomatiques autour des enjeux pétroliers et sécuritaires.