- 10:47Les lionnes de l’Atlas visent une place en demi-finale face au Mali
- 08:08Six arbitres marocains sélectionnés pour le CHAN 2024 en Afrique de l’Est
- 19:30Real Madrid : l’avenir d’Abdellah Ouazane en suspens, mais l’espoir demeure
- 18:30Ons Jabeur fait une pause : "Je ne suis plus vraiment heureuse sur le court"
- 18:30Lamine Yamal endosse le N.10 du Barça et écrit sa propre légende
- 17:00Les Lionnes visent les demi-finales
- 17:50Azzedine Ounahi dans le viseur de l’OM : tensions autour d’un départ refusé
- 14:45Al-Hilal souhaite prolonger Yassine Bounou jusqu’en 2027
- 12:45La billetterie de la Coupe du Monde 2026 ouvre le 10 septembre
Suivez-nous sur Facebook
#WaJme3Zeblek
Nous sommes tous les jours sujets à des comportements qui nous insupportent, que ce soit dans la rue, en magasins ou dans n’importe quelle autre place publique. Nous en sommes arrivés aujourd’hui au point qu’il est possible d’entrer en altercation avec une personne si nous décidons de la reprendre sur son comportement.
Nous traiterons chaque semaine d’un nouveau comportement par l’usage d’un hashtag commun dans cette chronique. Et nous ouvrirons la discussion afin de relater nos expériences personnelles en rapport avec le sujet de la semaine. Que nous discuterons pour changer ensemble.
Aujourd’hui nous souhaitons pointer du doigt un sujet qui nous touche tous. Il n’y a pas un marocain qui n’a jamais jeté un emballage dans la rue à un moment ou à un autre de sa vie. Et ce comportement est devenu anodin chez certaines personnes. Au point d’être dans la voiture et de se débarrasser d’un mouchoir, ou de manger et jeter ses déchets par la fenêtre. Et ce, bien qu’on ait conscience que d’autres voitures sont derrière nous, comme si c’était la chose la plus normale du monde.
La situation est telle qu’il est impossible de sillonner un quartier de la ville sans trouver des déchets éparpillés autour d’une poubelle publique. Et si l’on vient à en parler ouvertement, il n’est pas rare d’entendre « c’est ton problème ? ». Et pour les moins belliqueux, ce sera un « c’est la commune qui ne fait pas son travail ».
Il ne nous reste plus que quelques jours avant Aid Al Adha, et nous espérons ne pas voir nos villes se transformer en dépôts publiques. D’où le hashtag #WaJme3Zeblek …